Pascal Parisot ou l’art de la rupture sans douleur…

Article écrit le | 24 février 2009 | Pas encore de commentaire

J’aime Pascal Parisot. Ses chansons pour sourire et sa voix qui chatouille. Mais j’aime surtout cette façon qu’il a de dire des choses graves avec détachement, élégance, dérision.

La preuve ? Sur son dernier album, Clap Clap !,  il règle, en 2,06 min, son compte aux ruptures amoureuses. Une p’tite valse un peu bancale. Quelques considérations nonchalantes plus loin et nous voilà presque guéri. Du moins arrive-t-on à en rire. A dédramatiser. Merci Pascal Parisot pour ce petit bijou. Une chanson non triste pour nous consoler de s’être fait larguer.

Puisque c’est comme ça je rentre chez moi

Noyer mon chagrin dans le Nutella

in « puisque c’est comme ça », album Clap Clap !, 2006

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  louise a. n'est pas celle qui vous croyez. Elle multiplie les identités. Elle brouille les pistes. Elle est recherchée, elle, qui ne recherche plus rien. De nos jours. Si peu. louise a. tricote des morceaux du temps et s'en fait des cache-misère. louise a. s'épuise à comprendre la logique des autres. Sensible et vivace, louise a. se métamorphose en violette. Chaque soir entre 23h et 5h. Et si vous étiez un arbre ? louise a. ne serait pas. louise a. voudrait savoir dessiner des perspectives. louise a. n’est pas celle que vous croyez.