claude esteban, 18

Article écrit le | 18 mars 2009 | Pas encore de commentaire

Le coeur est si faible parfois

qu’il peut mourir d’un mensonge

j’ai touché ton bras dans la nuit,

il était froid comme les arbres

si tu m’aimes, ne reviens pas

à l’heure où la terre manque.

in Quelqu’un commence à parler dans une chambre, Flammarion 1995

Commentaires

• Catégories

  • Bruissements de la langue
  • Citation d'un jour
  • Comme une image
  • Humeur
  • IL
  • Ils marchent le regard fier mes hommes
  • J'aime
  • je liste
  • Le journal de louise a.
  • Le p'tit homme a dit
  • Le Voile de la Mariée
  • Lenka
  • Morales
  • Musique
  • Non classé
  • Poésie
  • Sur ma table de nuit
  • Textes
  • Trognes
  • Tu vas me manquer – L'intégrale
  • Wajdi mouawad

• Étiquettes

  admiration arts Chanson Cinoch' citations Claude Esteban Cogito critique littéraire enfance fUtilité Isabelle Pinçon marie-christine mots d'enfant musique photographie Poésie poésie contemporaine Prague romans spectacle vivant théâtre écriture
• Rechercher :

• Articles récents

  • voyager
  • Manhattan / Yves Simon
  • Inventaire pour Syd
  • Retouche littéraire du poème Heureux qui comme Ulysse de Joachim du Bellay
  • et dire que je ne sais pas écrire Kirghistan et que tu vas t’en aller

• lianes et racines

  • coule veine
  • Fabrice Backes, illustrateur
  • La marelle
  • Le printemps des poètes
  • Les corps empêchés
  • Poezibao

• Premiers mots

  louise a. n'est pas celle qui vous croyez. Elle multiplie les identités. Elle brouille les pistes. Elle est recherchée, elle, qui ne recherche plus rien. De nos jours. Si peu. louise a. tricote des morceaux du temps et s'en fait des cache-misère. louise a. s'épuise à comprendre la logique des autres. Sensible et vivace, louise a. se métamorphose en violette. Chaque soir entre 23h et 5h. Et si vous étiez un arbre ? louise a. ne serait pas. louise a. voudrait savoir dessiner des perspectives. louise a. n’est pas celle que vous croyez.